Il y a quelques semaines, j'ai découvert par hasard Philippe Lagautrière, un artiste
dont le travail m'a vraiment enthousiasmée. Pour ses tableaux, il collectionne, grave
et utilise des tampons, qu'il assemble ensuite sur ordinateur. C'est vraiment beau,
et intrigant à la fois.
En plus, son histoire est singulière, il était étudiant aux Beaux Arts et cherchait sa
voie quand il a redécouvert une boîte de tampons d'animaux de la ferme qu'on lui
avait offert pour ses 6 ans.
Je vous recommande son site, en plus d'une galerie de ses oeuvres, il y a mis,
dans la rubrique Bio, une vidéo qui explique sa technique.
En bref, il dessine sur la gomme, puis, il la creuse entre les traits.
Comme son coup de crayon est à la fois simple et très expressif, ça donne de
très chouettes résultats. Ensuite, il imprime ses tampons sur une feuille, les scan-
ne et les assemble sur Photoshop. Il met en couleurs, choisit des textures, et l'oeu-
vre finale est chaque fois totalement inédite tout en restant dans le sillon artistique
qu'il explore depuis plusieurs années.
Enfin, Philippe Lagautrière est très sympa, et quand je l'ai rencontré, il bossait avec
les Clash en fond musical, signe que cet homme là a un goût très sûr!
Pour l'instant il expose en Ecosse, mais quand il sera de nouveau visible dans l'he-
xagone, je ne manquerai pas de vous l'annoncer.
Pourquoi vous en parler aujourd'hui mercredi, me direz-vous? Et notre rubrique
pour les enfants?
Eh bien, justement ça m'a donné l'idée d'une activité avec les louloutes. J'ai donc a-
cheté des gommes (il utilise des Maped, (apparemment ce sont celles qui sèchent
le moins) et aussi des patates. Et on s'est lancées dans la fabrication de tampon.
J'ai conseillé aux louloutes de dessiner d'abord sur une feuille, ce qui a bien reca-
dré leurs ambitions! Difficile de dessiner sur une petite surface avec un minimum de
traits et de réussir à en faire quelque chose!
Grande Louloute s'est bien amusée, mais Petite louloute s'est vite lassée, j'ai finale-
ment été la seule à graver une gomme et ça m'a bien éclatée. C'est d'ailleurs la rai-
son de ce post, car j'avais placé la barre un peu haut, je crois, pour l'âge de mes
louloutes.
Il faut dire qu'en plus, j'avais oublié les tampons encreurs à Paris, donc ce n'était pas
très motivant!
De retour à la maison, mes tampons en gomme ayant survécu (contrairement aux
patates, voici le résultat. En sachant que je suis nulle en dessin, je suis plutôt con-
tente du résultat.
Cette fois-ci, c'est sûr, on va pouvoir dire que je suis complètement tamponnée! Et
obsédée des kokeshi et matriochkas par la même occasion...
Et surtout on récupère les coquilles! Pâques vient de passer, je me suis dit que
c'était le moment de vous parler de cette technique que j'ai croisé la première fois
au Sri Lanka. Les artisans cinghalais l'utilisaient pour décorer des bracelets, c'était
il y a bien des années, mais je gardais l'idée dans un coin de ma petite tête.
Avec les louloutes on a choisi de décorer des boîtes. En cherchant sur le net, j'ai
trouvé cette fiche technique, pour me rassurer. Il faut conserver les coquilles des
oeufs de vos gâteaux ou de vos omelettes. Je déconseille celles des oeufs durs,
car la petite peau blanche à l'intérieur devient difficile à enlever.
Laissez tremper les coquilles pour faciliter leur "épluchage". Séchez-les ensuite en
douceur pour ne pas les briser en trop petits morceaux.
Ensuite, encollez la surface à décorer. Il vous reste à poser les morceaux de coquil-
le et à appuyer dessus délicatement, elles se craquèlent, d'une poussée du doigt,
vous pouvez écarter légèrement les petits fragments pour accentuer les nervures
de la mosaïque ainsi créée.
Si vous souhaitez réaliser un motif avec les coquilles et qu'un petit morceau dépas-
se, il suffit d'une pression de l'ongle pour casser la coquille et enlever le surplus.
Grande Louloute, 7 ans et demi, s'est débrouillée comme un chef. Je vous conseille
quand même de prendre de petites surfaces pour commencer.
Ensuite, vous pouvez vernir, ou avant peindre les coquilles (j'ai essayé de les teindre
avant le collage, ça n'a pas marché!), pour le couvercle carré, j'ai peint en violet et en-
suite, j'ai essuyé les coquilles d'oeufs, seules les nervures ont conservé cette couleur.
Pour le coeur, on avait colorié les coquilles, mais le vernis a dilué la coloration.
Voilà en tout cas, une petite idée à décliner pour les cadeaux de fête des mères, des
pères, des papis, des mamies (bracelet, cadre-photo, miroir, boîte à mouchoirs, pense
-bête, range-courrier, rond de serviette, porte-clés, etc...)
Passez un bon mercredi!
J'ai une pensée spéciale pour ma nièce qui cette fois a vraiment 18 ans, je t'embrasse
très fort ma Nono!
Depuis le temps que le balcon était désaffecté, qu'il servait uniquement de débar-
ras, cette activité du mercredi m'a demandé pas mal de préparation. Mais les filles
étaient très enthousiastes, alors je me suis motivée.
Un sac de terreau, des sachets de graine achetées chez Liddl, de vieilles jardiniè-
res en plastique et hop, le tour est joué.
Les louloutes adorent tripoter la terre et s'il y a de l'eau c'est encore mieux.
Sur les sachets, ils annonçaient 20 jours de germination, j'ai donc acheté quelques
plants à St Jean de Beauregard, histoire de faire patienter mes petites jardinières.
Mais avec le temps de ces derniers jours, la nature a mis le booster.
J'en profite pour vous mettre un petit lien vers le site de Viltain (cueillette de fruits
et légumes) qui propose un livret jeux, des ballades en familles aux alentours, et à
cueillir tulipes, oignons, épinards, poireaux... Enfin sachez que le 29 avril, ils orga-
nisent un concours d'art floral, dommage que Maminou n'habite pas à côté!
On devait faire des plantations aujourd'hui, pour une fois tout était prêt, mais les lou-
loutes ont préfèré profiter du parc... Vu le temps, on les comprend! Mais ce n'est que
partie remise. Bonne fin de journée!
(je sais, on n'est pas mercredi mais c'est le post que je n'ai pas eu le temps de publier avant
hier et comme les bons films ont tendance à disparaître vite de l'affiche, je n'ai pas voulu at
tendre mercredi prochain)
Ou plutôt La double vie d'un chat, fidèle compagnon de Zoé, fille de policiers, pen-
dant la journée, et complice d'un cambrioleur monte en l'air ,la nuit. Les deux vies
vont évidemment s'enchevêtrer pour donner un polar sur fond de jazz des années
30/40, le tout servi par un graphisme épuré et des couleurs magnifiques, des dialo-
gues et des personnages inspirés des films des années 50, type Tontons Flingueurs
avec poursuite sur les toits de Paris, cambrioleur au grand coeur, truants patibulaires
mais presque, un bonheur, le meilleur du cinéma d'animation français! Allez, un p'ti
extrait rien que pour le plaisir:
Vous me direz, pas très original comme idée, mais si, car sur le site du film, il y
a des goodies pour les enfants, comme ce flipbook, un petit carnet à feuilleter
pour créer l'animation (cliquez pour agrandir):
Les autres jeux annoncés ne sont toujours pas en ligne, mais je vous recomman-
Dans la rubrique Coulisses, les professionnels qui ont travaillé sur le film, expli-
quent comment ils ont procédé,
pour les instits, ils proposent dans Travailler la bande annonce et dans Travailler le
film en classe, plusieurs séquences de cours bien sympas.
Pour les plus grands, je recommande le chapitre Les étapes de l'animation dans la
rubrique Expositions
et les techniques de l'animation en pâte à modeler, ou en dessin dans la rubrique
Ressources.
Enfin, si vous passez par la Drôme, il y a aussi l'exposition Autopsie d'un polar, réa-
lisée par la même équipe, ça a l'air très bien et c'est ouvert au public pendant les va-
cances scolaires jusqu'à la fin du mois de juillet.
Entrée : 4 euros pour les adultes et 2 euros pour les enfants.
Adresse : la Cartoucherie (salle
d’exposition) rue de Chony
26500 Bourg-lès-Valence.
Renseignements et réservation : sur le site de L’équipée ou au 04 75 78 48 67.
Voilà, j'ai vérifié, le film passe encore dans pas mal de petites salles à Paris et en
province, profitez-en!
Photos de Bernard Faye / MNHN Paris.Désolée, j'ai visité l'expo mais je n'ai pas pris de photos!
Aujourd'hui, je vous propose une visite de l'expo "Dans l'ombre des dinosaures",
au Museum National d'Histoire Naturelle. Je sais, vous êtes nombreuses à vivre
loin de la capitale, mais j'ai pensé à vous, et à vos loulous. Je viens d'explorer le
site de l'exposition, et je vous le recommande, il y a largement de quoi intéresser
des loulous de 5 à 10 ans, selon les jeux. Il y a même des documents PDF pour
les parents qui voudraient préparer la visite, et qui peuvent servir pour préparer
un exposé (attention, pas de copié/collé les loulous!).
Photos suivantes captures d'écran sur le site de l'expo
Le site comme l'expo est organisé en trois parties:
On retrouve les jeux des tables interactives de l'expo, il faut par exemple attraper
des animaux pour en savoir plus sur chacun d'entre eux.
Mon seul regret c'est que le site comme l'expo sont finalement autant tournés vers
les mammifères que vers les dinosaures, mais c'est intéressant quand même, il
suffit de le savoir.
Par contre, je vous recommande chaudement les films de la dernière partie, intitulés
"Nager", "Grimper", "Ronger", ou l'évolution présentée par un démonstrateur de super-
marché, ou un consultant en développement. La réalisation, le texte, le comédien,
tout est réussi et c'est très drôle! Bravo à toute l'équipe: pour la conception, Les Che-
vreaux Suprématistes, Pénélope de Bozzi et Matthieu Lemarie, pour la réalisation,
Stéphane Corréa et l'excellent comédien, Jean-Luc Vincent, qui a un faux air de Luc-
chini, on a dû déjà le lui dire. Ces vidéos méritent vraiment le détour!
Sinon, vous pouvez toujours aller voir chez les copines et trouver des idées:
Bon mercredi et n'oubliez pas, si ce n'est déjà fait de voter ici pour le concours de la
photo de bébé la plus rigolote.
Et pas qu'un peu! Direction le paléolithique. Je voudrais vous présenter le musée
archéologique de Guiry en Vexin, dans le Val d'Oise. Un petit musée méconnu (il
n'a même pas de site internet) qui a été créé dans le parc régional naturel du Ve-
xin, car on trouve dans cette région beaucoup de vestiges aussi bien préhistori-
ques que gallo romain.
On est allés là-bas avec la classe de Grande Louloute et vraiment les enfants ont
été enchantés de leur visite. L'animateur a réussi à canaliser tous les gamins, ce
qui n'est pas facile, surtout quand on parle de vieilles pierres. Alors chapeau!
En plus, le musée propose un parcours enquête bien adapté qui amène les en-
fants à s'intéresser de près aux vitrines, aux légendes explicatives, aux panneaux
signalétiques des différentes ères. Façon d'apprendre comment bien visiter un
musée tout en apprenant plein de détails passionnants sur la vie quotidienne des
homo erectus, habilis, sapiens... c'est fou ce qu'un archéologue peut tirer d'une
pierre qu'on aurait repoussée du pied si on l'avait croisée dans la nature!
ainsi qu'un atelier silex où les jeunes visiteurs se sont essayés aux différentes
tâches de l'archéologue et ont même pu tenir dans leur main un silex taillé il y
a un million d'années par un(e) homo erectus, un(e) bidouilleur(se) sans doute!
Séquence émotion. Même pour nous c'est difficile d'imaginer que ce caillou a
traversé tous les âges pour arriver jusqu'à nous et témoigner de l'existence de
nos lointains ancêtres.
Nous n'avons visité que la partie préhistorique, mais je pense y retourner pour
voir la partie gallo romaine.
Evidemment, c'est un peu loin de Paris et pas moyen de s'y rendre en trans-
ports en commun, mais le musée vaut le déplacement, ça fait plaisir de soutenir
un musée comme ça, très loin des grosses institutions, aussi bien au propre qu'au
figuré et au printemps, on peut certainement pique niquer dans le village.
Bref, je vous recommande cette sortie.C'est ouvert tous les jours sauf le mardi,
l'entrée est gratuite jusqu'à 7 ans, à 1,50€ pour les moins de 16 ans et 3 euros pour
les adultes. Pour plus d'infos, téléphone: 01 34 67 45 07 / 01 34 67 44 55
Allez, maintenant, voyez ce que vous proposent les copines:
Bon mercredi!
Enfin un post pour les petits gars, me direz-vous, pas seulement, car mes loulou-
tes se sont éclatées à réaliser leurs robots tout en récup.
Pour les fabriquer à votre tour, il vous faut:
Pour les outils:
Nous avons fait deux versions: l'une plus simple pour Petite Louloute qui a bientôt
5 ans et l'autre plus articulée pour Grande Louloute qui a 7 ans et demi.
La différence entre les deux versions est le nombre et la taille des tubes utilisés.
Pour la version la plus simple, prenez un tube d'aspirine/vitamine pour chaque jam-
be, et deux autres pour les bras que vous raccourcissez d'1,5 cm. Ensuite, vous
percez des trous sur les 2 côtés, à 1 cm du fond du tube. (Pour Petite Louloute, j'ai
percé un premier trou au tournevis, puis je lui ai fait agrandir le trou avec une vis.)
Vous collez alors les bouchons des bras, à l'envers, spirales intérieures en dehors
pour faire les mains. Comme j'ai utilisé de la super glue, Petite Louloute n'a pas pu
coller elle-même, mais pour compenser, elle comptait jusqu'à 30 pour déterminer
le temps de collage.
Pour les jambes, vous collez au bout des tubes les bouchons de flacon de crème
liquide.
Laissez sécher un peu et pendant ce temps, découpez le haut du flacon de
crème liquide, la partie sur laquelle se visse le bouchon.
Puis vous percez deux trous de chaque côté du flacon, en haut, au niveau des épau-
les, en bas, vers le fond du flacon, au niveau des hanches.
Petite Louloute a alors enfilé la ficelle dans la grosse aiguille, on a fait un gros noeud
au bout du fil. Puis elle a fait passer la ficelle dans les trous d'un bras, dans le corps
au niveau des épaules, et dans l'autre bras. Là, on a bien tiré sur la ficelle avant de
faire un autre gros noeud. Pareil pour les jambes.
Ensuite, on est allées sur le balcon peindre le corps, les jambes et le petit chapeau
(bouchon liquide vaisselle).
Pendant que ça séchait, Petite Louloute a rempli la boule de Noël de perles hama.
Ensuite, il ne restait plus qu'à coller le chapeau à la tête et la tête au corps.
Bidip bidip bidip, et c'est- fi-ni!
Avec Grande Louloute, je l'ai laissé mesurer la longueur du tube en carton, calculer
la moitié, le quart, puis marquer ces mesures sur le tube, mais c'est moi qui ai décou-
pé les tronçons. Ensuite, elle a fait les premiers trous dans chaque tube, mais j'ai fait
les deuxièmes, car là, le tournevis ressort du tube, et peut s'enfoncer dans le pouce
qui le tient, et là ça fait très mal (c'est du vécu).
Comme il y a plus d'articulations, il faut faire 4 trous sur les tronçons du haut du bras,
et des cuisses,( deux à chaque extrémité). Si vous voulez en faire une marionnette
(ce qui était mon projet initial), vous faites 4 trous sur tous les tronçons.
Ensuite, on passe les fils qui relient au corps comme pour la première version. Quant
aux fils qui joignent les tronçons au coude et au genou, vous les passez dans les trous
d'un tronçon avant de les passer dans les trous de l'autre tronçon et vous faites un
noeud avec les deux extrémités du fil. Laissez du mou sans quoi l'articulation sera
bloquée et le pauvre robot comme perclus d'arthrose.
Si vous voulez en faire une marionnette, il faut passer un autre fil au coude et au ge-
nou, noeud à l'intérieur du tube du tibia et de l'avant bras. Puis, vous attachez les 4
fils ainsi obtenus à une croix formée de deux bâtons, et voilà!
Le reste du robot se fait de la même façon que pour le premier.
Et si vous n'aimez pas la robotique, allez voir chez les copines ce qu'elles mijotent:
Vos loulous portent des lunettes noires, rasent les murs en chuchotant, font
mine de parler dans des talkies walkies, ce post est pour vous... et pour tous les
petit(e)s espion(ne)s en herbe.
C'est une idée du Papa des louloutes qui est branché cryptologie. Il a conçu pour
nos espionnes de filles, une roue à coder les messages. Si ça, c'est pas du super
Papa!
Pour bien jouer, il vous en faudra deux, l'un pour l'émetteur du message, l'autre
pour son destinataire. Il suffit ensuite qu'ils se mettent d'accord sur la correspon-
dance entre deux lettres, par exemple, L=Z et le code commun est créé.
Alors, pour fabriquer ce super codeur, il faut:
Comme le Papa a réalisé ça sur Autocad, et que sinon c'est assez galére, il vous
fournit gentiment le résultat de son travail.
Il vous suffit donc d'imprimer ces deux disques, de les coller sur deux disques
de carton identiques, puis de découper tous les petits rectangles qui formeront
les petites fenêtres où apparaîtront les lettres "codées".
Ensuite, on fait une petite croix toujours au cutter au milieu des deux disques.
On y passe l'attache parisienne
Et voilà, sinon, dans la panoplie du parfait espion, il y a des billets de tout pays, moi
j'en ai photocopié des vrais mais en noir et blanc et pas recto verso, car, quand j'ai
essayé d'en scanner, pour faire plus vrai, mon ordinateur m'a renvoyé un message
d'avertissement sur les peines encourues par les faux-moneyeurs, très sympa!
Par contre, on peut jouer à leur fabriquer de faux passeport, en jouant sur les noms
et sur les looks. Vous cherchez sur le net des photos de perruques ou de chapeaux
que vous superposez à la photo de vos loulous. Si vous n'avez pas de logiciel ade-
quat, vous le faites aux ciseaux. Exemples: (cliquez dessus pour voir les détails ou
imprimer)
Il ne reste plus qu'à découper le blanc, rajouter par en dessous la photo de vos lou-
lous, coller la couverture (j'ai fait ma feignasse et n'ai pas changé le texte selon la
nationalité de l'espion(ne), désolée), et le tour est joué!
Et puis allez donc espionner chez les copines, pour profiter de leurs idées du mercredi:
Et j'en profite pour saluer le blog que vient de créer la brillantissime Mademoiselle
Louloute: